Stratigraphic relationships suggest that it formed progressively by creep from the Late Oligocene to the Late Miocene. The Devilfish MTC is up to 32 km wide and consists of a zone of extension which passes downslope into a broad zone of compressional structures which die out downslope without the development of a clear emergent slump mass or a terminal structure. Some inversion of slump-related structures indicates continued movement after an initial failure event. The Sailfish MTC affects a zone 7 km wide along the paleo-shelf edge in the SE of the area and features slumped paleo-shelf masses with listric faulting and toe thrusts in places. Two distinct Mass Transport Complexes are present. Mass Transport Complexes (MTCs) developed along the paleo-shelf edge and basin bounding faults through repeated failure from the Late Oligocene to the Mid Miocene. Seismic geometry indicates the presence of likely carbonate build-ups formed in deeper water near the north-eastern edge of the Southern Platform by bryozoan mounds which pass to the northeast into distal bottom set deposits in shelf edge clinoforms. The Southern Platform of the Gippsland Basin of southeastern Australia contains a mixed carbonate-clastic succession deposited on the outer continental shelf in water depths of 50–200 m.

Notamment, les variations d’influences des eaux de surface chaudes et salées de l’Atlantique nord ont pu être identifiées pour certaines périodes de temps. La reconstitution de l’historique d’évolution des apports sédimentaires et des processus responsables de ces apports depuis le Quaternaire moyen (début de la Mid-Pleistocene Transition, MPT) jusqu’à l’Holocène terminal, a permis de mieux caractériser l’impact des variations d’extension des calottes continentales sur la sédimentation des mers nordiques, mais aussi d’identifier les périodes de forte influence du couvert de glace Arctique (y compris calotte potentielle en maxima glaciaire) sur les mers nordiques, et les variations de l'influence des courants de surface et de fond dans la zone nord et la zone sud de ces bassins boréaux.

Une étude stratigraphique détaillée a été réalisée sur la base de différents outils (datations radiocarbones, géochimie isotopique, géochimie élémentaire, biostratigraphie sur microfossiles et nannofossiles calcaires, et analyses sédimentologiques). Ils ont également permis de se concentrer sur la chronologie des périodes de développement ou de retrait des calottes continentales périphériques (calotte du Groenland, calotte Fennoscandie et calotte de Barents et Svalbard), et du couvert de glace de mer. Les enregistrements sédimentaires ont montré une très grande variabilité des processus de sédimentation en jeu dans ces mers en fonction des périodes climatiques, avec notamment une sédimentation glaciomarine, gravitaire, contouritique, et hémipélagique. Il se base sur une base de données acoustiques (bathymétrie, imagerie multifaisceau) et sédimentologique (carottes calypso) issues de deux campagnes réalisées par le Shom. Ce travail présente une analyse des environnements sédimentaires marins profonds des mers nordiques à l’interface de l’Atlantique nord et de l’Arctique (mers du Groenland, de Norvège, de Barents et d’Islande) au cours du dernier million d’années.

Subsmarine crack